ELECTION POLITIQUE CITOYEN

IA ITW

11 novembre, un Président et son illustre prédécesseur - La presque interview

Cette interview, reconstituée par une IA (Intelligence Artificielle), n'a jamais eu lieu. Elle imagine les réponses d'Emmanuel Macron et de Charles de Gaulle à l'occasion d'un débat sur la signification du 11 novembre sur la base de leurs positions et déclarations réelles sur ce sujet afin de vous plonger au cœur de leurs idées. C'est une presque interview.

--------------------------


À l'occasion de la commémoration du 11 novembre, EPOC a l'immense privilège de réunir deux figures emblématiques de l'histoire de France : l'actuel Président de la République, Emmanuel Macron, et l'illustre chef de la France libre et ancien Président de la République, le Général Charles de Gaulle. Une rencontre qui se veut à la fois mémorielle et tournée vers l'avenir, à l'image du message porté par le 11 novembre : se souvenir des sacrifices d'hier pour éclairer les choix de demain.

Emmanuel Macron, Président de la République depuis 2017, a placé au cœur de son mandat la notion de résilience et de transformation. Il cherche à adapter la France aux défis contemporains, qu'ils soient climatiques, économiques ou sociaux, tout en s'appuyant sur les valeurs républicaines de liberté, d'égalité, et de fraternité. Ses discours sur la mémoire nationale ont souvent mis l'accent sur la nécessité de transmettre les leçons du passé aux jeunes générations, afin de construire un avenir de paix et de progrès.

À ses côtés, Charles de Gaulle, le symbole de la résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale et Président de la République de 1959 à 1969, représente la figure de l'unité nationale et de la souveraineté. Connu pour sa vision intransigeante de l'indépendance française, de Gaulle incarne une France fière, capable de s'affirmer face aux défis internationaux. Pour lui, la mémoire du 11 novembre est avant tout celle du sacrifice consenti pour la liberté et l'indépendance de la nation, un rappel constant des valeurs qui doivent guider la France.

Ce dialogue inédit entre deux présidents, issus d'époques différentes mais unis par un même amour de la France, offre une réflexion profonde sur ce que représente le 11 novembre pour notre pays. Que signifie aujourd'hui la mémoire de cette date symbolique ? Comment cet esprit de résistance et de solidarité doit-il inspirer les générations actuelles et futures ? C'est à ces questions, parmi d'autres, que nos deux invités vont tenter de répondre, dans un échange où se confrontent expérience historique et vision contemporaine.


EPOC : Messieurs les Présidents, nous sommes ici pour parler du 11 novembre, cette date emblématique qui symbolise la mémoire des sacrifices passés, mais aussi une vision pour l'avenir de la France. Que représente, selon vous, cette journée pour la France d'aujourd'hui ?

Charles de Gaulle : Le 11 novembre est bien plus qu'une cérémonie, c'est un moment sacré pour la France, un rappel solennel du sacrifice consenti par tant de nos compatriotes pour que la nation vive libre. Ceux qui ont donné leur vie ont incarné l'héroïsme sans faille, le flambeau de la liberté qu'ils ont porté jusqu'à la victoire au prix de leur existence. Nous ne devons jamais oublier que cette flamme, cette bravoure, n'est pas l'apanage du passé. C'est une source constante d'inspiration, un témoignage de ce que la France a de meilleur en elle. Se souvenir de leur sacrifice ne relève pas uniquement de la nostalgie, c'est un devoir de préservation de la dignité de notre nation. En ce jour, la France doit se rappeler que chaque génération doit être prête à défendre les valeurs essentielles qui ont façonné notre pays, et qu'à travers l'unité nationale, nous puisons notre force.

Emmanuel Macron : Général, je partage votre vision de l'importance du 11 novembre, mais je crois que la mémoire doit s'accompagner d'un devoir de transmission. Il est crucial que nous utilisions cette journée pour éduquer et inspirer les jeunes générations. En 2018, lors des commémorations du centenaire, j'ai choisi de visiter les champs de bataille en compagnie de jeunes Français. L'idée était de leur montrer, de manière tangible, ce que signifient les mots 'sacrifice' et 'liberté'. Le 11 novembre est une occasion de se souvenir, mais aussi de transmettre ce flambeau aux générations futures, afin qu'elles saisissent la fragilité de la paix et la valeur inestimable des sacrifices consentis. C'est une journée pour réaffirmer notre engagement à défendre la paix, non seulement à l'intérieur de nos frontières, mais aussi sur la scène internationale, pour que les erreurs du passé ne se reproduisent jamais.

Charles de Gaulle : Transmettre, en effet, monsieur le Président, mais il ne faut jamais oublier que ce que nous transmettons est un message de résilience, de courage, de défense de la souveraineté nationale. En 1962, devant l'Arc de Triomphe, j'ai insisté sur le fait que le courage des soldats, incarné par le soldat inconnu, symbolisait la bravoure de toute une nation. Aujourd'hui encore, nous devons rappeler que la souveraineté et l'indépendance de la France ne peuvent être garanties que par notre unité et notre détermination à rester libres de nos choix. Ces cérémonies ne sont pas seulement une affaire de mémoire, mais aussi un avertissement : la liberté se mérite, elle se défend chaque jour. Et c'est cette vigilance que nous devons transmettre.

Emmanuel Macron : Vous avez raison, Général. La question de la souveraineté est plus que jamais d'actualité, et elle prend aujourd'hui des formes nouvelles. Elle ne se limite plus uniquement à la défense de nos frontières, mais elle concerne également des domaines comme la souveraineté numérique, énergétique, ou encore la résilience face aux crises climatiques. Lors des commémorations, il est essentiel de rappeler que la souveraineté de la France se conjugue désormais avec notre capacité à être des acteurs influents sur la scène européenne et internationale. C'est pourquoi j'ai invité Angela Merkel en 2018, pour symboliser la réconciliation franco-allemande et l'importance de construire ensemble un avenir de paix. Notre force réside dans notre capacité à faire entendre notre voix, à unir nos forces pour que la mémoire des sacrifices passés guide nos actions futures, dans un monde profondément interconnecté.

Charles de Gaulle : Le monde est certes interconnecté, mais il ne faut jamais oublier, monsieur le Président, que la France ne doit jamais se laisser dicter sa conduite. Nous avons quitté le commandement intégré de l'OTAN en 1966 justement pour garantir notre indépendance face aux grandes puissances. En ce jour du 11 novembre, nous devons rappeler que notre unité est notre plus grande force, et que la France, pour être respectée, doit rester maîtresse de son destin. Que chaque Français se souvienne que notre liberté a été chèrement acquise, et qu'elle doit être défendue sans relâche. La France est forte lorsqu'elle est unie, lorsqu'elle se tient debout, prête à affronter les défis du présent et de l'avenir.

Emmanuel Macron : Et c'est précisément cette idée d'une France unie et influente que je souhaite mettre en avant, mais en l'adaptant aux défis contemporains. Le 11 novembre est une journée pour nous rappeler que les sacrifices d'hier doivent inspirer les choix d'aujourd'hui, que la France doit être unie, non seulement en interne, mais aussi avec ses partenaires, pour faire face aux défis globaux. Nous devons être capables de préserver notre indépendance tout en participant pleinement à la construction d'un monde plus juste et pacifique. C'est en combinant mémoire, transmission, et engagement pour l'avenir que nous pourrons véritablement honorer la mémoire de ceux qui ont donné leur vie pour notre liberté.

 

EPOC : Parlons maintenant de la paix et de la construction européenne. Quelle place occupe le projet européen dans la mémoire de 1918 et dans la vision de l'avenir pour la France ?

Charles de Gaulle : Le projet européen, tel qu'il est souvent présenté, repose sur une volonté de coopération. Je ne nie pas l'importance d'une Europe stable et en paix. Cependant, il faut être vigilant : la France ne peut se permettre de diluer son identité ou d'abandonner sa souveraineté à des institutions supranationales. En 1918, la victoire était celle de la France et de ses alliés, mais c'était avant tout la victoire d'une nation qui s'était battue pour sa liberté, pour son indépendance. Cette indépendance, nous devons la préserver avec une extrême rigueur. L'Europe peut être une alliée, une complice même, dans les grands défis mondiaux, mais jamais au prix de notre capacité à décider seuls de notre destin. La France doit rester un phare de souveraineté au sein de ce concert européen, et c'est dans cette posture de force que nous pourrons réellement contribuer à la paix.

Emmanuel Macron : Général, je crois que la construction européenne est précisément ce qui nous permet aujourd'hui de tirer les leçons de 1918 et de 1945. La paix ne se décrète pas, elle se construit, elle se protège, jour après jour, par des institutions et des liens solides entre les peuples. L'Europe, c'est l'antidote aux guerres fratricides qui ont déchiré notre continent pendant des siècles. Loin de diluer notre identité, elle la renforce, parce qu'elle nous permet de projeter nos valeurs bien au-delà de nos frontières. Ce que nous avons bâti depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'est une Europe qui sait faire front commun face aux défis. Oui, la souveraineté est essentielle, mais elle est aussi collective : c'est l'idée d'une souveraineté européenne qui s'ajoute à la souveraineté nationale, nous rendant plus forts face aux grandes puissances et aux défis planétaires, qu'ils soient économiques, environnementaux ou sécuritaires.

Charles de Gaulle : L'unité européenne ne doit pas nous aveugler sur les réalités de la puissance. La France a un rôle spécifique à jouer, et ce rôle, elle ne peut le jouer que si elle conserve la pleine maîtrise de ses décisions. Nous ne devons pas oublier que les grandes avancées, qu'elles soient militaires, culturelles ou industrielles, ont été rendues possibles par notre indépendance d'action. Nous devons être prudents pour que l'Europe ne devienne pas une structure qui affaiblit ses nations membres, mais au contraire une alliance de volontés fortes, où chaque pays conserve sa grandeur. C'est en gardant cette indépendance que la France pourra influencer réellement le destin de l'Europe.

Emmanuel Macron : Et je crois que c'est en reconnaissant et en respectant ces particularités nationales que nous pourrons construire une Europe forte. Mais aujourd'hui, nous ne pouvons ignorer l'ampleur des défis qui dépassent largement nos frontières. Le réchauffement climatique, la transition énergétique, la sécurité numérique : ce sont des enjeux que même une France forte ne peut résoudre seule. C'est pourquoi il est fondamental de renforcer l'intégration européenne, de partager des ressources, des compétences, et d'élaborer ensemble des solutions à la hauteur de ces défis. Ce n'est pas une faiblesse de coopérer, c'est au contraire une nouvelle forme de puissance, qui nous permet de défendre nos valeurs et notre modèle de société sur la scène mondiale.


EPOC : Enfin, parlons de l'esprit de résistance et de résilience qui est au cœur de l'histoire de France. Comment cet esprit doit-il inspirer les Français d'aujourd'hui face aux crises actuelles, qu'elles soient économiques, sanitaires ou environnementales ?

Charles de Gaulle : L'esprit de résistance, mes chers compatriotes, est l'essence même de notre nation. Cet esprit de résistance ne se limite pas à faire face à un ennemi extérieur, visible ou identifiable, mais englobe la capacité à surmonter toute forme d'adversité, quelle qu'elle soit. La France a traversé des crises majeures tout au long de son histoire : des guerres, des occupations, des bouleversements sociaux et politiques. Et chaque fois, c'est grâce à la volonté farouche, au courage indomptable de son peuple, que notre pays a su se relever et retrouver sa grandeur. Aujourd'hui, les défis sont d'une autre nature : la crise climatique menace notre planète, l'incertitude économique fragilise nos sociétés, et la crise sanitaire que nous avons traversée a mis à l'épreuve notre système de santé et notre cohésion. Pourtant, la réponse à ces défis demeure la même. Nous devons puiser dans cet héritage, dans cette force collective qui a fait la France. Il nous faut retrouver ce courage, cette résilience, et cette solidarité nationale qui ont toujours été nos plus grandes armes. Chaque Français doit prendre conscience de son rôle. Chaque geste compte, chaque engagement personnel est une pierre à l'édifice de notre nation. C'est par l'effort collectif, par la détermination à ne jamais céder à la fatalité, que la France trouvera la force de surmonter ces épreuves et d'en sortir plus forte. La résilience, je le dis avec gravité, est profondément ancrée dans notre ADN. Elle est ce qui nous distingue, ce qui nous permet de rester un peuple libre, un peuple debout, même face aux défis les plus redoutables. En préservant cet esprit de résistance et en l'incarnant chaque jour, nous assurerons la pérennité de notre souveraineté, de notre indépendance et de notre liberté. Que chaque citoyen sache qu'il est un maillon essentiel de cette chaîne, une chaîne qui porte la France vers l'avenir avec courage et grandeur.

Emmanuel Macron : Général, je suis profondément en accord avec cette vision de la résilience. Cet esprit de résistance qui a forgé la France, nous devons le réinventer pour faire face aux défis contemporains. Aujourd'hui, cela signifie se mobiliser pour le climat, pour la justice sociale, pour l'innovation. L'engagement de chacun est crucial, qu'il s'agisse de changer nos modes de consommation, de soutenir nos entreprises face aux bouleversements économiques, ou encore de protéger notre système de santé face aux crises sanitaires. La résilience moderne, c'est aussi être capable de tirer parti des crises pour en sortir plus forts, pour inventer de nouveaux modèles qui permettront à la France non seulement de se relever, mais de montrer l'exemple. Nous devons être une nation qui ose, qui innove, qui refuse de céder au découragement. C'est cet esprit que je veux voir se propager à travers notre société : une France qui n'abandonne jamais, qui sait se réinventer, et qui reste fidèle aux valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité.


EPOC : Messieurs les Présidents, parlons de la notion de souveraineté nationale à la lumière des défis actuels. Qu'est-ce que la souveraineté signifie pour la France aujourd'hui, et comment doit-elle être défendue face aux enjeux globaux ?

Charles de Gaulle : La souveraineté, mes chers compatriotes, est l'essence même de ce qu'est la France. Elle signifie la capacité de décider par nous-mêmes, en toute indépendance, des grandes orientations de notre nation. Cette souveraineté n'est pas seulement un concept abstrait, c'est la concrétisation de notre liberté, celle que nos ancêtres ont payée de leur sang sur les champs de bataille de l'Europe. Elle est le fruit d'une histoire millénaire, forgée dans les batailles et consolidée par les sacrifices de nos aïeux, des hommes et des femmes qui ont refusé de courber l'échine. Aujourd'hui, cette souveraineté est menacée, non pas uniquement par des forces extérieures qui pourraient vouloir nous dominer, mais aussi par la tentation de la dilution dans des structures supranationales qui, malgré leur intention louable, peuvent parfois affaiblir notre capacité d'action. Ces institutions, bien qu'elles puissent apporter la coopération, doivent respecter notre indépendance, et jamais ne doivent contraindre notre volonté. Il est impératif que la France reste libre de ses choix, qu'elle ne se laisse jamais entraver par des intérêts étrangers ou des pressions extérieures, quels qu'ils soient. Pour défendre cette souveraineté, il nous faut rester unis, affirmer avec force notre identité et nos valeurs fondamentales. Nous devons être prêts, s'il le faut, à prendre des décisions difficiles, à choisir des chemins ardus, mais qui garantissent notre liberté et notre indépendance. Cela peut vouloir dire dire non, refuser des compromis qui menaceraient notre âme en tant que nation. Notre destin doit rester entre nos mains, et c'est en agissant ainsi que nous rendrons vraiment hommage à ceux qui se sont battus pour que vive la France.

Emmanuel Macron : Général, je partage votre attachement à la souveraineté, mais je pense aussi que sa définition a évolué avec les réalités de notre monde globalisé. Aujourd'hui, la souveraineté ne consiste pas seulement à s'isoler et à résister aux influences extérieures, mais bien à être capable d'agir efficacement dans un environnement international de plus en plus complexe et interconnecté. Cela signifie que pour être vraiment souverains, nous devons être influents. Nous devons être en mesure de prendre part aux décisions qui se jouent au niveau mondial et d'avoir une voix forte dans les institutions internationales. Pour cela, la France doit non seulement préserver son indépendance, mais également s'engager pleinement sur la scène internationale, à travers des alliances et des partenariats stratégiques qui renforcent notre influence. Prenons l'exemple de la souveraineté numérique, qui est aujourd'hui un enjeu crucial : il ne suffit pas de proclamer notre indépendance, il faut agir pour que nos données, nos technologies, ne soient pas à la merci de puissances étrangères qui pourraient s'en servir pour affaiblir notre nation. C'est pour cette raison que je plaide pour une Europe forte, capable de défendre ses citoyens tout en respectant la souveraineté des nations qui la composent. L'Europe est un levier pour protéger notre indépendance, elle est un espace de solidarité qui nous rend plus forts face aux géants mondiaux. Être souverain aujourd'hui, c'est aussi comprendre que les défis auxquels nous faisons face - qu'ils soient environnementaux, économiques ou sécuritaires - dépassent de loin nos frontières. Les réponses à ces défis doivent être à la hauteur de leur portée globale. La France est véritablement souveraine quand elle est influente, quand elle contribue activement à façonner les règles du jeu international, quand elle parvient à allier la force de ses convictions avec l'engagement envers la coopération mondiale. C'est cela, être souverain au XXIe siècle : être acteur, être présent, et surtout, être capable de construire avec d'autres un monde plus juste et plus stable.

 

EPOC : Pour conclure, quel message souhaiteriez-vous adresser aux Français en ce 11 novembre ?

Charles de Gaulle : Françaises, Français, n'oublions jamais que notre liberté est née du sacrifice de ceux qui, hier, sont tombés pour la patrie. Ces hommes et ces femmes ont donné leur vie pour que nous puissions jouir de la paix et de la liberté que nous connaissons aujourd'hui. Cette flamme que nous ravivons chaque année doit continuer de brûler en chacun de nous, car elle est le symbole de notre résilience et de notre détermination à rester debout face aux épreuves. Pour que la France reste forte, unie et indépendante, il nous appartient de cultiver ce sens de l'unité, cette grandeur d'âme qui a toujours été notre force. Ce n'est pas uniquement en nous souvenant, mais en agissant dans l'esprit de ceux qui ont fait l'ultime sacrifice, que nous honorerons véritablement leur mémoire. C'est par notre engagement à défendre nos valeurs, à protéger notre liberté et à rester fidèles à l'idéal de justice et de fraternité que nous rendrons hommage à ceux qui ont pavé le chemin de notre avenir.

Emmanuel Macron : Mes chers compatriotes, souvenons-nous des sacrifices, mais faisons-en aussi des leçons précieuses pour bâtir notre avenir. La paix est un héritage fragile, elle ne se transmet pas automatiquement, elle se mérite et se préserve chaque jour par nos actions. Nous devons être conscients que chaque génération a la responsabilité de maintenir cet équilibre. C'est ensemble, unis, non seulement au sein de notre nation, mais aussi avec nos voisins européens, que nous serons capables de défendre les valeurs qui nous sont chères : la liberté, la démocratie, la solidarité. Les tragédies d'hier ne doivent jamais se répéter, et pour cela, nous devons non seulement honorer la mémoire de ceux qui se sont battus, mais aussi être les artisans d'une paix durable. Soyons dignes de ceux qui se sont battus, soyons les gardiens de cette flamme. Portons leur flambeau, non seulement en souvenir, mais en le transformant en actions concrètes qui protègent et renforcent la paix, en transmettant aux générations futures l'amour de notre pays et la volonté inébranlable de le préserver.

 

EPOC : Messieurs les Présidents, nous vous remercions d'avoir bien voulu partager avec nous votre vision sur la signification du 11 novembre. Bien que nous ne nous soyons jamais rencontrés et que vous n'avez jamais eu l'opportunité d'échanger de vive voix en raison de vos époques si proches et si lointaines, nous sommes ravis d'avoir eu l'opportunité de vous entendre aujourd'hui, même sans pouvoir véritablement échanger avec vous.

ARTICLES PRÉCÉDENTS
EPHEMERIDE : 11 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 10 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 9 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 8 décembre, un jour, une vie, un décès
IA ITW : Dans la tête de Donald Trump : ce qu'il pense de ses homologues. La presque interview
EPHEMERIDE : 7 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 6 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 5 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 4 décembre, un jour, une vie, un décès
EPHEMERIDE : 3 décembre, un jour, une vie, un décès
TENSIONS SOCIALES : Les cicatrices d'une décennie de crise
EPHEMERIDE : 2 décembre, un jour, une vie, un décès
DECLIN FRANCAIS : Le déclin de l'enseignement du français aux Pays-Bas
EPHEMERIDE : 1 décembre, un jour, une vie, un décès
CRISE ECONOMIQUE : Égypte 2024 : sur le fil de l'économie
VIOLENCE URBAINE : Spirale de violence au Costa Rica