Parcours de Naomi Mata Afa
xxxx : Elle suit des études à la Samuel Marsden Collegiate School et à l'Université Victoria de Wellington en Nouvelle-Zélande
1985 : Elue députée
1988 : Réélue députée
1991 : Réélue députée
1991 : Ministre de l'Éducation jusqu'en 2006, c'est la première femme à occuper un fauteuil ministériel dans le pays
1996 : Réélue députée
2001 : Réélue députée
2006 : Réélue députée
2006 : Ministre des Femmes, du Développement communautaire et social jusqu'en 2011
2006 : Représentante du pays à l'UNESCO
2006 : Chancelière pro et présidente de l'Université du Pacifique Sud jusqu'en 2012
2011 : Réélue députée
2011 : Ministre de la justice jusqu'en 2016
2016 : Réélue députée
2016 : Vice-premier Ministre en charge des Ressources naturelles et de l'Environnement jusqu'en 2020
2018 : Marraine fondatrice de l'Initiative sur les femmes et le changement climatique
2021 : Leader du parti FAST le 09 mars
2021 : Réélue députée. Les résultats donnt une égalité de 25 sièges pour le FAST et 25 sièges pour le HRPP au pouvoir. Un élu indépendant détenant alors le rôle d'arbitre.
2021 : La commission électorale annonce le 20 avril que les 10% de femmes au Parlement n'étant pas respecté, un siège de plus est attribué au HRPP
2021 : Le député indépendant rejoint le FAST le 21 avril pour établir une majorité mais après la décision la veille de la commission électorale les deux partis sont à 26 sièges chacun
2021 : Elle conteste cette décision de la commission électorale le 03 mai devant la Cour Suprême
2021 : Le Chef de l'état annonce le 04 mai l'annulation des élections et l'organisation de nouvelles élections le 21 mai pour sortir de l'impasse politique
2021 : Le FAST conteste ces nouvelles élections devant la Cour Suprême
2021 : La Cour Suprême supprime le 17 mai le nouveau siège qui avait été attribué au HRPP par la commission électorale et annule l'annulation des élections législatives du 09 avril. Le nouveau Parlement constitué de 25 sièges pour le FAST, 25 sièges pour le HRPP et 1 siège d'indépendant ont ainsi 45 jours suivant le scrutin initial pour se réunir et former un gouvernement autour d'elle
2021 : Premier Ministre désignée le 09 avril, elle sera fin mai la première femme à occuper cette fonction
2021 : Le Chef de l'Etat annule la décision de la Cour Suprême qui avait ordonné l'ouverture de la session parlementaire le 24 mai. Le Président de l'Assemblée refuse d'ouvrir l'accès au Parlement. La nouvelle majorité l'investit Premier Ministre dans les jardins estimant que son opposant Tuilaepa Sailele a perdu le scrutin
2021 : La Cour d'appel officialise sa nomiation le 23 juillet. Elle est donc Premier Ministre officiel depuis le 24 mai
2021 : Elle met en garde le 6 août la procureure générale Savalenoa Mareva Betham Annandale, exprimant des préoccupations concernant son rôle dans la crise post-électorale
2021 : Suspension de la procureure générale et du greffier du Parlement pour deux semaines le 21 août
2021 : Licenciement le 2 septembre de la procureure générale pour ne pas avoir défendu l'indépendance du pouvoir judiciaire
2021 : Elle annonce en septembre la fin de l'observation de l'heure d'été aux Samoa
2021 : Adoption du budget de 982 millions de tālā pour l'exercice fiscal
2021 : Le gouvernement rejette les recommandations de l'ONU concernant la légalisation de l'avortement et du mariage homosexuel, affirmant que ces questions ne sont pas à l'ordre du jour
2022 : Face à l'arrivée de cas de COVID-19, le gouvernement impose un confinement national de 48 heures, prolongé ensuite de 72 heures, puis de 24 heures supplémentaires, avant de lever les restrictions fin janvier
2023 : Remaniement ministériel en septembre
2024 : Elle accueille à Apia la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth
2025 : En janvier, le Président du FAST Laauli Leuatea Polataivao est licencié du gouvernement suite à des accusations criminelles; En réponse, il l'expulse du parti et provoque une crise politique
2025 : Elle survit à une motion de censure au Parlement en février
2025 : Le Parlement rejette le projet de budget. Elle annonce la dissolution de l'assemblée le 27 mai et la convocation d'élections législatives dans les 90 jours